Lampedusa
Lampedusa : traces et mémoires retrouvées est une édition mêlant dessins, photos, images d’archive et entretiens.
édition
illustration
2016
En 2016, l’abondance d’informations à propos des naufrages de bateaux transportant des migrants vers l’île de Lampedusa, île-frontière de l’Europe, me pousse à m’y rendre moi-même pour comprendre les enjeux de ce territoire et la vie vécue par ceux y qui habitent ou y arrivent.
Lampedusa : traces et mémoires retrouvées est une recherche narrative qui mêle dessins, photos, images d’archive, textes et entretiens. Tous ces témoignages se réunissent, se répondent, se complètent parfois et viennent dessiner les contours d’une Lampedusa vécue, incarnée.
Voir plus d’éditions :
→ 2016
→ Cat
Lampedusa
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2016
En 2016, l’abondance d’informations à propos des naufrages de bateaux transportant des migrants vers l’île de Lampedusa, île-frontière de l’Europe, me pousse à m’y rendre moi-même pour comprendre les enjeux de ce territoire et la vie vécue par ceux y qui habitent ou y arrivent.
Lampedusa : traces et mémoires retrouvées est une recherche narrative qui mêle dessins, photos, images d’archive, textes et entretiens. Tous ces témoignages se réunissent, se répondent, se complètent parfois et viennent dessiner les contours d’une Lampedusa vécue, incarnée.
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→ 2016
→ Cat
Lampedusa
Le premier volume est un journal, aussi exhaustif qu’illisible, qui retranscrit la cacophonie médiatique dans laquelle l’information est dépersonnalisée, on y parle de flux, de chiffres, de faits disparates.
Le second volume mêle ma voix et celles de ceux que j’ai rencontrés sur l’île ainsi que les objets échoués sur les côtes ou abandonnés à la hâte dans les cales.
J’y intègre aussi les portraits de Lampedusa, réalisés par des migrants, des locaux, des gens de passage lors de plusieurs workshops.
Le second volume mêle ma voix et celles de ceux que j’ai rencontrés sur l’île ainsi que les objets échoués sur les côtes ou abandonnés à la hâte dans les cales.
J’y intègre aussi les portraits de Lampedusa, réalisés par des migrants, des locaux, des gens de passage lors de plusieurs workshops.
Le dernier chapitre est dédié à Porto M, un mémorial qui expose les objets retrouvés des migrants, recueillis sur les plages ou dans les décharges de bateaux disséminées sur l’île. C’est pour l’association Askavusa, qui est à l’initiative de Porto M, que j’ai préparé des supports de communication (le journal, des cartes postales, un flipbook).
Dans un livre où une place essentielle est dédiée au témoignage, la typographie devait faire écho à cette volonté de construire une mémoire parcellaire d’une histoire vouée à disparaître.
J’ai créé une variante de la Fugue de Radim Pesko, nommée Fuite. De plus en plus fragmentaire, elle évoque la recherche d’indices et de traces de cette histoire muette et leur donne la parole.
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Atelier J. de Missolz
identité visuelle
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Cat
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